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Articles et travaux de recherches au service de la nutrition 

La partie rédactionnelle nous permet avant tout de créer du contenu et de nous positionner sur certains sujets en comparant une multitude de sources diverses. Articles scientifiques, revues médicales, rapport nationaux, de nombreux documents sont à notre disposition pour établir un consensus sur diverses problématiques. Je propose donc régulièrement des veilles scientifiques.

Des journaux.
Croissant au chocolat

Micro ou macronutrition pour une meilleure perte de poids ?

Protéines, lipides, glucides, sont les principaux sujets que nous entendons au quotidien dans le monde de la nutrition. Malheureusement, on oublie souvent que la macro-nutrition doit être corrélée aux micronutriments pour établir un équilibre au sein de notre organisme.

Cette recherche développe les points oubliés de la nutrition, sans ce basé essentiellement sur le fameux déficit calorique pour perdre du poids.

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additifs aspartame, Les conséquences d'une mauvaise 
alimentation. 

Additifs et autres substances tant adoré par les entreprises agroalimentaires. Quels impacts sur notre santé, remplacer le sucre des sodas par ce fameux édulcorant nous permet ils réellement de perdre de poids ?

Au travers de cette veille scientifique, je m'efforce de répondre cette question.

Les influenceurs et leurs conséquences sur notre hygiène de vie. 

En vue de l'explosion des réseaux sociaux de nombreux influenceurs émergent. Mais leurs conseils sont ils réellement fondés, les produits qu'ils nous vendent sont ils de bonne qualité ?

Leurs vidéos influencent tels nos choix ?

Réseaux sociaux.

Obésité alimentation ou mauvaise volonté ?

Obésité : une piste épigénétique pour lutter contre la prise de poids et l’hypercholestérolémie | Institut Pasteur

Cet article est intéressant, car rend compte des capacités de certaines protéines sur nos gènes et implique donc une modification physiologique de notre métabolisme.

Partons du fait que si nous naissons sans certains gènes cela peut perturber notre métabolisme énergétique, si notre métabolisme énergétique est perturbé cela peut mener soit à une surcharge pondérale ou alors un métabolisme extrêmement énergivore. Tant cet article la protéine mise en cause est BAHD1. La BAHD1 inhibe l'expression des gènes. Imaginez-vous que votre métabolisme se mette à stocker et à produire une dose colossale de cholestérol sans que celui-ci ne soit détruit. Cette notion d'épigénétique introduit la capacité d'un individu à prendre du poids plus facilement qu'un autre. Le poids n'est donc pas qu'une simple question de balance énergétique. Nous devons prendre en compte les facteurs environnementaux, la génétique, ou la sécrétion hormonale.

La leptine : du gène aux effets sur l’équilibre énergétique 

 

L'académie de médecine nous montre une fois de plus que l'obésité n'est pas corrélée à mauvaise volonté. En effet, nous savons que certaines protéines produites au sein de notre organisme favorisent la prise alimentaire ou l'inhibent totalement. La leptine est produite au cours du repas, par l'estomac et par nos cellules adipocytaires. Les deux formes de leptine produite conduisent à des actions différentes. Le pool gastrique servirait l'absorption des nutriments contenue dans notre repas. Le pool adipocytaire aurait pour fonction le stockage des nutriments. La leptine gastrique agit localement dans l’estomac en activant les afférences vagales viscéro-sensitives pour produire des signaux de satiété qui sont intégrés et traités dans le système nerveux central.

Le déficit en leptine pourrait être directement incriminé pour induire les obésités communes, malheureusement les déficits en leptine représente une faible partie des personnes obèses. Ce sont des individus ayant deux allèles identiques pour un gène (homozygote).

La majorité des obèses ont des taux supérieurs de leptine, donc la sensation de satiété devrait être à son paroxysme. Souvenez-vous d'une chose essentielle sur la physiologie humaine, notre organisme n'apprécie pas les extrêmes. Un taux élevé de leptine engendre une résistance entrainant avec elle des anomalies au niveau intracellulaire.

Obésité et sensibilité à l'insuline : la piste de la lipolyse - Salle de presse de l'Inserm

Set point

La notion de poids est une partie prédominante dans le diagnostic posé par le professionnel de santé. Nous pensons souvent que notre poids dépend intégralement de notre hygiène de vie, outre les facteurs génétiques, énoncés dans les articles précédents, la notion de " Set Point" est aussi à éclaircir.

Le set point serait le poids que votre organisme estime être correct. Comment affirmer que votre poids est 80 KG ?

Le set point peut lui aussi être perturbé, en effet, on parle alors de décalage. Les personnes obèses se voient souvent bloquées malgré leur bonne volonté. Mais pourquoi ?

Nous savons que les adipocytes produisent des cytokines, dont TNFa, facteur d'inflammation. Cette inflammation favorise l'insulinorésistance. L'excès d'acides gras libre dans le sang bloque la captation du glucose et favorise les risques cardiovasculaires tout en modifiant le métabolisme énergétique. Le sucre n'est plus utilisé par les muscles, les acides gras circulent librement dans le sang ment au décalage du set point.

Protéines, lipides, glucides, sont les principaux sujets que nous entendons au quotidien dans le monde de la nutrition. Malheureusement, on oublie souvent que la macro-nutrition doit être corrélée aux micronutriments pour établir un équilibre au sein de notre organisme.

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